Imaginez une entreprise comme un orchestre : pour jouer une belle symphonie, il faut que tous les musiciens soient sur la même longueur d’onde, du chef d’orchestre aux violonistes en passant par les percussionnistes. Sans quoi, on risque la cacophonie.

Et bien, c’est un peu pareil pour la RSE (Responsabilité Sociétale des Entreprises) ! Pour qu’une démarche RSE soit vraiment efficace, il faut que toutes les parties prenantes, internes et externes, soient impliquées et jouent leur rôle.

 

Mais qui sont ces parties prenantes ?

Ce sont tous les acteurs qui sont impactés par les activités de l’entreprise, un peu comme les différents publics d’une salle de concert.

On y trouve :

  • Les parties prenantes internes : les dirigeants, les salariés et, parfois les actionnaires et les syndicats. Ce sont un peu les solistes de l’orchestre, chacun avec sa voix et sa partition.
  • Les parties prenantes externes : les fournisseurs et sous-traitants, les clients et consommateurs, les communautés locales, les riverains, les pouvoirs publics, les associations et ONG. C’est le public de la salle, qui attend avec impatience de profiter du spectacle.

Pourquoi les impliquer ?

Parce que c’est un peu comme si on demandait aux spectateurs de monter sur scène pour jouer de la musique sans leur avoir donné d’instrument ni de partition ! Sans l’implication des parties prenantes, la RSE risque de sonner faux et de ne pas avoir l’impact escompté.

 

Comment les impliquer ?

Là, on touche à la baguette magique du chef d’orchestre ! Il y a plusieurs outils et méthodes pour faire participer les parties prenantes à la RSE :

  • Identifier les parties prenantes : c’est un peu comme faire la liste des invités pour une soirée. Il faut être exhaustif pour ne laisser personne de côté ! Sinon, imaginez un peu la tête du tonton oublié… pas certain qu’il n’en garde pas une certaine rancoeur…
  • Evaluer leurs attentes : c’est comme sonder l’humeur du public avant le concert. Il faut comprendre ce que chaque partie prenante attend de l’entreprise en matière de RSE.
  • Définir une stratégie RSE co-construite : c’est comme écrire la partition de la symphonie à plusieurs mains. Il faut que tous les acteurs concernés soient impliqués dans l’élaboration de la stratégie RSE.
  • Communiquer et informer : c’est comme faire de la publicité pour le concert. Il faut partager régulièrement des informations sur la démarche RSE avec toutes les parties prenantes.
  • Mettre en place des actions concrètes : c’est comme répéter la symphonie avant le grand soir. Il faut développer des actions RSE qui répondent aux besoins et aux attentes des parties prenantes.
  • Evaluer et rendre compte : c’est comme demander l’avis du public après le concert. Il faut mesurer l’impact de la démarche RSE et communiquer les résultats aux parties prenantes.

En résumé, impliquer les parties prenantes à la RSE, c’est un peu comme organiser un concert réussi : il faut que tous les acteurs soient impliqués, que la communication soit fluide et que le résultat final soit à la hauteur des attentes du public !

Et n’oubliez pas : la RSE, c’est un peu comme la musique, ça doit toucher les cœurs et les esprits pour avoir un véritable impact !